Le plaisir égoïste du partage

Description de Le plaisir égoïste du partage

Catherine et sa sœur cherchent à repartir à zéro dans une petite ville touristique. Catherine est maintenant femme de ménage à la piscine municipale, ce qui est son rêve absolu car elle est passionnée par l'eau. Elle passe des moments solitaires, se noyant dans ses pensées sur sa vie et sa relation avec Jurgen. Toutefois, le deuxième tome de "Le style Catherine" manque de profondeur et d'intrigue. L'histoire est lente à se développer et la voix off omniprésente peut agacer. En outre, l'expérience de Catherine est moins excitante et moins crédible que dans le premier tome, tandis que la coloration de la bande dessinée est souvent sombre et morose.

Critique de Le plaisir égoïste du partage

Alors que le premier tome de "Le style Catherine" était frais et innovant, ce deuxième tome a du mal à capter l'attention du lecteur. L'intrigue est limitée et la voix off envahissante peut en agacer plus d'un. Cependant, l'auteur a le mérite de continuer son exploration de l'identité féminine de manière courageuse et introspective. Cela donne une profondeur supplémentaire à l'histoire et à la personnalité de Catherine. Le style de dessin est très soigné et précis, mais on peut regretter qu'il ne soit pas plus utilisé pour renforcer l'histoire et les émotions des personnages. Dans l'ensemble, le deuxième tome de "Le style Catherine" est un récit de transition qui manque de punch, mais répond aux attentes trouvées dans le premier tome en étant courageux et sincère dans l'exploration de l'identité féminine.